Cette expo s'intitule "Work in progress" car quand on se casse le bras, ce qui fut le cas pour lui comme pour moi, on subit ce ralentissement forcé de notre travail puis cette progression infime quand on reprend nos œuvres en cours.
Nous vivons ces moments frustrants où nous ne pouvons plus saisir le monde à bras le corps, où tout nous échappe (des mains) et avance sans nous.
Sauf l'intensité de nos rêves ...